Stage fleurs

Profitant d'un stage fleurs chez Jasco, je me suis inscrit car, en fait, les fleurs ce n'est pas ma tasse de thé. 

Quand je vois les autres les peindre, cela a l'air tellement facile ...

Quand je m'y mets c'est toute une autre chose, ou alors c'est que je suis très exigeant. Mais non, ce n'est pas facile.

J'imagine qu'une fois on en a l'habitude, qu'on a dépassé la crainte de mal faire on est libéré et le pinceau file tout seul. Je me souviens d'observer Eveline faire des roses en négatif avec une aisance telle que cela semblait magique.

Je me suis essayé donc. Finalement le résultat n'est pas si décevant que cela. Faudra que je m'y mette plus souvent.

Coquelicots

J'avais dessiné déjà le brouillon depuis environ huit mois, mais je ne me décidais pas à démarrer le travail. Bloqué par je ne sais pas quelle force intérieure qui m'insinuait que j'allais rater l'essai.

Finalement j'ai fait le pas. Peut-être parce que j'étais plus à l'aise à la maison (Alba à Moscou, Rodrigo en Oregon et Evelyne partie à San Francisco) ?

N'ayant pas d'horaire, ni de comptes à rendre, ni synchronisations à faire avec personne; les 24 heures de la journée je les organise comme bien me semble; si je ne me couche pas du tout ou si je me couche à dix-huit heures et je me lève à deux heures, cela ne dérange personne.

Donc, jouissant ce cette liberté nouvelle et provisoire, je me suis lancé à l'eau et aux pinceaux.

Le résultat n'est pas si mauvais que je le craignais à tel point que je pense que je vais récidiver un de ces quatre avec d'autres fleurs sauvages.

Lys de Nuria

Je ne suis pas très attiré par les fleurs, au contraire de beaucoup de mes co-aquarellistes du mardi.

Néanmoins, j'ai une prédilection spéciale pour les lys des Pyrenées, emblème de la Vallée de Nuria. Peut-être parce que cela me rappelle les versants, cols, torrents, sommets et sentiers parcourus et savourés au fil des ans.

Du point de vue technique ce n'est pas très complexe si ce n'est le fait de parvenir à donner du volume et profondeur et/ou relief à la fleur.



Le fond, arrière plan donne aussi du fil à retordre car si on le fait avant on doit protéger les parties de la fleur et si on le fait après il faut remplir les petites cavités entre les pétales.

Pour ce qui est des lys j'en suis quitte pour quelque temps, d'autant plus que je m'étais déjà essayé il y a quelque temps das l'article vall-de-nuria

Magnolia

Les fleurs, ce n'est pas ma tasse de thé. Non pas parce qu'elles représenteraient une quelconque difficulté technique comme par exemple j'éprouve avec les portraits et les personnes et animaux en général, mais parce que le sujet ne m'attire pas particulièrement.

De temps en temps, j'ai néanmoins envie de m'y essayer, surtout quand je vois certains de mes co-aquarellistes s'y donner à coeur joie avec des pétales et sépales sortir en négatif de la feuille blanche.

Ce weekend, j'étais à la mer (La Panne) avec un peu de temps devant moi et aucun projet de peinture en vue. Je me suis dis donc que c'était le bon moment de m'essayer  sur un coin de feuille en vue de, en fonction du résultat, remplir plus tard une feuille entière.

Je dois avouer que cela ne m'a pas déplu. Bien sûr, il y a des fleurs et des fleurs. Je ne sais pas si j'aurais la patiente de m'attaquer à un vrai bouquet avec de centaines de feuilles, tons, contre tons, ombres, tiges, et tout le reste.

Un de ces quatre j'ai l'intention de refaire quand-même les fleurs de Lys qui font partie du logo ou écusson de Núria, que j'avais abordé en 2005, tout au début d'avoir découvert ma passion pour l'aquarelle.

Galets - Pebbles

Finalement, après un bonne parenthèse d’une quinzaine de jours j’ai enfin pu m’y remettre et le terminer.

Au départ il s’agissait d’un exercice du groupe de Wavre, pour changer des paysages de ciels, forets, champs et marines un thème bien différent des pierres « galets ».

Le modèle proposé par José était tout à fait un autre. Le but n’était pas de faire absolument ce modèle là, mais de s’en inspirer.

Finalement j’ai tapé galets sur Google et cherché une composition qui me plaise. Sur la photo les fleurs étaient en plein milieu. J’ai préféré les des-centrer.

Pour ce qui est de la couleur des galets, je suis resté sur le même ton mais en y ajoutant une proportion différente de bleu outremer afin de ne pas tomber dans la monotonie.

J’ai fait abstraction des coquillages du sol. Non seulement ils étaient difficiles à représenter mais cela aurait alourdi trop le détail et cela m’aurait pris trop de temps.

En tout et pour tout la réalisation m’a pris probablement une dizaine d’heures au rythme de deux heures par-ci, deux heures par là. Avec la parenthèse des vacances de Pâques, pendant lesquelles j’en ai terminé deux en petit format à l’hôtel « Torrent sous bois » et « Felouque sur le Nil »

J’ai même pris une photo au stade intermediaire.

Noël 2010 - paysages imaginaires

En cours de rédaction

Pyrénées

Vall de Nuria
Je n’ai pas beaucoup d’œuvres de cet endroit que j’apprécie particulièrement. J’ai l’intention d’en faire pas mal mais j’attends de dominer un peux mieux la technique.

Les fleurs de Lys qui font partie du logo ou écusson de Nuria m’ont inspiré pour cette aquarelle qui laisse beaucoup à désirer. Il s’agit de mon premier travail sur des fleurs. Un de ces jours je le referais car il ne peut qu’être amélioré.

L’œuvre, réalisée en octobre 2005, est basée sur une photo que j’avais prise une des dernières fois que nous étions allés, probablement au mois de juillet de la même année.






La singularité de cette aquarelle, réalisée en juillet 2005, réside sur le fait qu’elle n’a pas été effectuée sur place, mais dans un parc d’attractions aquatique.
En effet, nous sommes allés passer la journée à Aquadiver (Platja d’Aro) et pendant que les enfants s’amusaient à se laisser glisser, plonger, etc. je me suis installé sur un banc à l’ombre des pins, dans l’aire de pique-nique, et sur base de la photo de la couverture de mon guide des excursions à effectuer dans la Vallée de Nuria j’ai commencé et terminé le tableau.


Vall d'Aran
Le nom Val d'Aran serait un pléonasme : il signifie 'Vallée de la vallée' (val en gascon et aran du basque haran)
Située, dans le nord-ouest de la Catalogne, dans la province de Lleida elle correspond à la partie espagnole de la haute vallée de la Garonne.

Le région regorge d’églises en style roman.
J’ignore si cet exemplaire, réalisé en novembre 2006, est exactement de la région indiquée plus haut, car j’ai pris l’image d’une revue que j’ai égaré depuis. J’ai quelques projets de tableaux basés sur de photos prises par moi-même dans la vallée de Bohí.