Houses

Pere et Tere
Ceci est un travail que j’ai fait avec plaisir et crainte. Crainte qu’il ne soit pas bien réussi. En effet il est lié à l’aquarelle que j’ai réalisé de Peratallada, voir Catalunya : villages.
En effet, l’aquarelle de Peratallada trônait sur la cheminée chez moi en attente d’être installée dans la chambre de ma fille Alba lorsque nos amis, Pere et Tere de Vulpellach, sont venus nous rendre visite.

Pendant que nous discutions en buvant un verre Pere, n’arrêtant pas de regarder l’aquarelle, m’a expliqué le pourquoi de son étonnement. En fait c’est lui qui a construit cette maison dans cette rue de Peratallada ou en tout cas c’est lui qui l’a renouvelée. Il m’a même explique les difficultés qu’ils on eu a faire arriver les énormes poutres. En fait elles ont dû être transportées à dos d’homme étant donné que l’étroitesse de la rue empêchait l’entrée du camion.
Je ne pouvais pas lui offrir l’aquarelle car j’avais déjà dit à Alba que c’était pour elle c’est pourquoi, sans rien dire, je décidai de lui offrir une œuvre représentant sa maison à Vulpellach.

Le résultat me plaît assez bien car malgré le peut d’expérience que j’avais je suis parvenu a rendre l’ombre et l’ambiance assez agréable. Que de barbecues que nous avons dégusté sous ce porche !

Neighbours
La maison de nos voisins d’en face, Jeannine et Jean-Claude. C’est venu comme ça. Je me suis dit un jour que j’allais leur offrir leur maison en aquarelle.

Le tableau a été réalisé, et encadré, en Espagne, pendant nos vacances d’été 2006.







Patio
Ceci fut une des premières aquarelles faites avec Jasco, sur base d’une image descendu d’Internet. Il s’agit du patio d’une maison en Italie. Lorsque je retrouverai l’image je pourrai lui donner le nom exacte.








Home sweet home
Je n’aurais peut-être pas pensé à faire ce tableau si nous n’avions pas reçu un jour, comme cadeau de Noël, de la part d’Adriana et sa famille un tableau représentant notre maison.
Avoir un tableau de sa maison m’avait touché.

Avant de me lancer à l’aquarelle j’ai essayé au pastel et à la craie cire avec des résultats moins que médiocres.
L’aquarelle, heureusement a sauvé la mise même qu’elle n’a été réalisée qu’en juin 2005 avec à peine trois mois d’initiation aux techniques.

Lac du Der : Cygnes

Une des randonnées classique de la Compagnie Ardennaise de Randonnée, et peut-être où on randonne le moins est celle du Lac du Der, en France, où entre la fin d’octobre et le début de novembre on part, surtout à l’observation des oiseaux en général, des grues cendrées en particulier. Outre les soupers gastronomiques à base de foie gras et moins gras.

Le lac a été construit sur l'emplacement du lac-réservoir de Champaubert-aux-Bois. Mis en service en 1974, il sert aujourd'hui à désengorger la Marne pour éviter les crues de la Seine à Paris.
Sa construction nécessita la destruction de trois villages : Chantecoq, Champaubert-aux-Bois et Nuisement-aux-Bois.
La faune y est abondante et protégée. Chaque printemps et automne, les grues cendrées s'y rassemblent par milliers.

Lors d’une des promenades randonnée autour du lac, nous sommes tombés sur ces cygnes qui au lieu de nous fuir sont venus vers nous.
Quelques photos et un essai au pastel en février 2005



Quelques mois plus tard, en avril de la même année je réessaie mais cette fois -ci à l’aquarelle. Avec un résultat qui me satisfait d’autant plus qu’il fait partie d’un de mes premières aquarelle en tant qu’initié.

Nid de cigognes

D’après une photo prise près de Lerma. En allant vers Covarrubias, sur la droite de la route, aux alentours de Puentedura, un matin, j’ai été surpris par l’énormité du nid et par l’équilibre en apparence fragile de la structure.

La première version, à l’aquarelle a été peinte vers la fin de 2004. D’ailleurs la numérisation de l’œuvre a été utilisée comme carte de vœux pour ce Noël 2004, avec trois ou quatre autres œuvres.




Plus tard, en février 2005, j’ai essayé de refaire le tableau au pastel. Je ne suis pas du tout satisfait avec le résultat. En fait je devrais trouver un formation au pastel car, normalement, il est possible d’obtenir des résultats assez près de l’huile. Mais il y a certainement des techniques que j’ignore.

En mars 2005, quelques jours plus tard, je refais le motif en aquarelle afin de comparer l’évolution par rapport à décembre 2004. C’est déjà un mieux mais qui reste à améliorer.




En avril 2006, un peu plus d’un an plus tard je me décide à refaire le tableau fort de mon année d’apprentissage. Le résultat est beaucoup plus satisfaisant. D’ailleurs ce tableau a fait partie de la série exposée en décembre au CAT de Tubize.
Il garnit aujourd’hui le salon d’Evelyn, mon amie et prof d’anglais préférée.

Janvier 2013, nouvel essai. Après quelques années d'expérience je me teste sur des anciens sujets pour voir s'il y a de l'évolution. A la vue du nouvel ouvrage, il y a lieu de constater que pour ce qui concerne la perspective aérienne, il y a une nette amélioration. Par contre j'avais l'air plus posé en 2006. Le bâtiment est mieux réussi. Certes, j'ai un peu bâclé ce dernier travail. J'ai commencé le mardi à l'après midi à partir de zéro. Je lui ai consacré deux heures et puis le soir j'y ai encore travaillé entre une heure et deux. Je le reprendrai dans quelque temps en plus grand, car je crains que ce ne soit pas le fait d'avoir diminué la taille qui m'ait mis en disproportion. Dès que j'aurai un peu la maîtrise de l'huile je m'y frotterai à nouveau.

Pirkanmaa : Ruovesi

Ruovesi
Ruovesi est une petite municipalité du centre-ouest de la Finlande, dans la région du Pirkanmaa dont la capitale est Tampere.

Lors d'une de nos visites, je me suis intéressé à l’église du « village » que j’ai d’abord « croquée » au crayon de couleurs en guise d’entraînement. Finalement ce n’est pas plus mal que de démarrer un travail par quelques essais au crayon, même si ratés parfois. En effet cela permet de se familiariser avec les proportions et les difficultés prévisibles plus tard lorsqu’on veut s’attaquer pour du bon à l’œuvre.
Ce premier croquis couleur a été lancé bien évidemment pendant le mois d’août 2004.

La version aquarelle n’a été-t-elle réalisée que bien plus tard, vers la fin du mois de novembre 2005. Elle est devenue un des thèmes des cartes de ce Noël 2005.








Le Tarjanne
Le Näsijärvi, le plus grand lac dans la région, d’une surface de 257 km², lie les differents villages et hameaux par voie navigable.

La Runoilijan Tie, «voie du poète », nom dérivé des voyages nationaux finlandais de Johan Ludvig Runeberg, poète à Ruovesi, est un itinéraire de navigation régulier, le long duquel le Tarjanne voyage de Tampere à Virrat et viceversa.

Le Tarjanne, bateau à vapeur, centenaire, était utilisé à l’origine pour le transport de cargaison et des passagers locaux, mais aujourd'hui il ne transporte que des touristes d'été. Le voyage de Tampere à Ruovesi dure quatre heures et 25min et de Ruovesi à Virrat trois heures et 20min.
Le Tarjanne fut utilisé comme navire-torpilleur par les forces maritimes russes impériales pendant la première guerre mondiale dans l'escadron Näsijärvi. Le navire fut désarmé pendant l'hiver 1918, et les canons furent enlevés pour être utilisés sur terre pendant la guerre civile finlandaise.

Cette aquarelle, commencée en Belgique et terminée en Guadeloupe, mars 2005, est basée sur une des photos prises par moi avant d'y monter faire la traversée vers Virrat.
Elle pend fièrement, aujourd'hui, dans la chambre de mon fils Rodrigo qui l'apprecie particulièrement.






Le Tallusselkä
Le Tallusselkä est le nom donné à l'étendue d'eau, appartenant au lac Näsijärvi, situé dans un endroit très calme à quelques minutes de Ruovesi, par route ou par lac. C’est l’endroit idéal pour savourer le calme et le silence de la nature à la manière finnoise.

Pas loin de là se trouve la maison du peintre Gallen-Kallela, connu principalement par ses illustrations du Kalevala l'épopée finnoise, d'Elias Lönnrot, à la base de leur identité nationale.
J'ai l'ai visité à deux occasions differentes et je la visiterai encore. A chaque occasion avec un regard nouveau, avec plus de maturité.

Que dire au sujet de ce paysage ?
Pendant nos vacances de 2004, en Finlande. Ignorant pour ainsi dire tout de l’aquarelle, j’ai voulu m’initier au pastel. J’avais eu déjà le plaisir de m’y essayer lors du stage que j’avais suivi en juillet, mais cette fois-ci, j’allais essayer en solo.
Quoi de plus intéressant que le calme d’un coin magnifique de cette région finnoise près de Ruovesi.



A la fin des vacances, sur le bateau, j’ai essayé avec les crayons de refaire de mémoire le paysage du lac. Je me rappelais de la disposition des arbres, des rochers, de l’eau. Cela n’avait l’air pas trop difficile. Aussi, au crayon, la technique m’est inconnue et je ne sais pas encore observer et retenir. Le résultat n’est pas fameux mais je l’assume.


Je ne dirais pas que ce paysage m’intriguait outre mesure, mais lorsqu’en septembre, en gravure, le premier jours de cours pluridisciplinaire à l’Académie, j’ai eu devant moi la plaque de zinc et que pris à brûle-pourpoint il fallait y graver quelque chose, tout naturellement j’ai essayé de refaire ce dont je me rappelais encore par cœur.



Quelques mois plus tard, en mars 2005. Lors de mes premiers cours d’aquarelle j’ai voulu m’essayer dans cette technique. Ce qui à donné une œuvre satisfaisante mais dont je me suis promis de rééditer par après lorsque je maîtriserais un peu mieux la technique et où je serais plus à l’aise avec la reproduction des eaux semi stagnantes.



Je n’ai pas su résister et en novembre 2005, j’ai voulu refaire ce paysage. Il est vrai qu’entre-temps j’ai peint d’autres vues de l’endroit. Le sauna notamment. Mais après six mois de formation chez Jasco, je me sentais un peu plus à l’aise pour aborder le sujet. Ce n’est probablement pas la dernière fois que je m’attaquerai. J’y pense déjà pour le jour où j’oserai l’huile.




Mari's mökki
Le chalet de Mari, charmant, à quelques mètres en hauteur par rapport au niveau du lac, domine un paysage superbe.
Le sauna en contrebas et le lac jusqu’à l’horizon, toute la rive bordée de sapins.

D’autres chalets ci et là mais presque invisibles. Les rayons du soleil illuminant par réverbération la pièce de séjour du sauna, le crépuscule, permettent de se laisser aller à toute sorte de rêverie.

La première version ce cette vue depuis la terrasse fut faite encore une fois à mes balbutiement au pastel. Je me souviens avoir dû me dépêcher à cause des moustiques qui commençaient à m’exaspérer.

La deuxième version je la fis au crayon, sur base de la première car plus tard dans la soirée. J’avais eu ma dose de moustiques.



En octobre 2006 j’ai entrepris, comme il est déjà devenu une sorte de tradition, de refaire un de mes anciens tableaux afin de évaluer l’amélioration de mes connaissances.
Le résultat cette fois-ci me plût presque immédiatement. Je décidai donc d’en faire le thème de mes cartes de Noël de 2006.

Le sauna
L'endroit nous plaisait tellement que je n'ai pas pu m'empêcher de faire un croquis de l'intérieur du sauna, que j'ai mis en couleur plus tard avec l'intention de le mettre un jour en aquarelle.
Etant donné que les crayons ne demandaient pas trop de savoir faire. J’ai osé me lancer à la représentation du sauna depuis le large. En réalité je suis allé à la rame et puis j’ai travaille sur photo. Je ne suis pas très bon en directe. Je n’ai pas encore acquis la patiente nécessaire pour obtenir un résultat satisfaisant.

Juillet 2005. Avec à peine quatre mois de formation, premier essai à l’aquarelle. Résultat fort médiocre, même si dans l’ensemble le tout peut être accepté. J’essaierai de le refaire un de ces jours. Je suis plus à l’aise maintenant avec les arbres et les arrières plans.

Travaux d'Ecole

Lors de la formation pluridisciplinaire à l’académie dans les cours de dessin il nous a été demandé de dessiner des objets, des souliers, nos mains, etc. En voici le résultat.





































En gravure outre certains travaux que j'ai déjà montrés dans d'autres rubriques : Eglise de La Bisbal et Pirkanmaa, voici d'autres travaux allant de la gravure simple vers d'autres techniques.

Ici à gauche la plaque négative sur la quelle je grave le dessin avec la pointe sèche directement. C'est la gravure directe. En bas le résultat après impressions sur la prèsse.



















Ci dessous il s'agit de la gravure sous la technique d'"eau forte". C'est à dire qu'on couvre la plaque de zinc d'une couche de vernis. Puis avec la pointe sèche on dessine sur ce vernis sans trop appuyer. Puis lorsqu’on trempe la plaque dans de l’acide, celui-ci mordra là où le vernis est disparu en réalisant la gravure. Au plus de fois un trait est mordu par l’acide, au plus profond et noir il apparaîtra sur le résultat final. Sur base de cette connaissance essentielle il faut respecter l’ordre dans le dessin.




















Cet autre travail commença sur la technique d’eau forte pour passer à l’aquatinte.L’aquatinte produit une sorte de lavis en saupoudrant de la résine sur certaines zones et en protégeant des autres, puis le bain d’acide et quelques retouches en gravure directe on pourrait obtenir un résultat « semblable » aux lavis chinois.




Ici on peut voir la plaque de zinc où l'on mélange les techniques d'eau forte et gravure





Dans mon cas le résultat est bien loin du compte. Quelque part c'est plus que normal car s'agissant de ma première aquatinte j'ai dû en plus faire vite car notre session allait se terminer. Ce fut néanmoins une expérience intéressante
















Dans l’atelier de volume je dus effectuer, sur base d’un modèle, des figurines à base de terre.

Le résultat laisse beaucoup à désirer mais je ne suis pas mécontent étant donné que je n’avais jamais fait cela.

Premiers essais

Comme déjà indiqué, l’année 2004 fut l’année du démarrage. Je me suis essayé aux crayons couleur, à l’encre de chine, au pastel, à l’aquarelle. Je n’ai pas encore osé toucher à l’huile. Que ce soit en solo ou à la demande des professeurs de l’académie. Je reprends ici dans cet article les dessins et croquis qui n’auront pas ou qui n’ont pas encore eu de réplique sous aucune autre technique. Ce n’est pas la même chose faire un paysage, des pierres, qu’une personne. Déjà qu’un dessin d’une personne reste proportionné ce n’est pas du gâteau, mais obtenir qu’il y ait une ressemblance découle tout simplement pour moi du miracle. A moins qu’il y ait des déclics en moi qui n’ont pas encore été enclenchés. A l’encre de chine j’ai essayé de faire mes enfants, avec un résultat assez mauvais.

J’ai du mal à rendre publiques ces échecs, mais il faut assumer ses gaffes, ses erreurs pour progresser.

Ci dessous : Au crayon de couleur j’ai essayé une pochette d’un ancien 33 tours que j’avais sur la table. La résultat voudrait ressembler à Crystal Gayle. Au pastel : des images venant du site Webshots. En effet, ayant du mal à trouver des motifs qui m’inspireraient, j’avais recours souvent à des sites sur Internet, surtout Webshots d’où je suis abonné.

Des travaux demandés par l’académie  

Un essai d’autoportrait au pastel.

Rodrigo au fusain, deux essais un soir à La Panne. Probablement à la Toussaint 2005 

Quelques essais à l'aquarelle et encre de chine